Kaleidoscopic-Mind

Les Jours Avec, ceux qui te ressemblent...

Jeudi 30 avril 2009 à 16:14

L'étendue de mes connaissances se résume a 17ans/cm². C'est dur quelques fois de se heurter à des vérités en granit. Vous savez, ces vérités indélébiles que rien ni personne ne changera, celles qui vous susurrent narquoisement que "c'est comme ça et pas autrement. Tu vois ma fille, t'as plus qu'à accepter, on changera pas le Monde pour ta pomme. Mais je crois que même ma Pomme s'est perdue.

Il y a des gens à qui on donne de l'amour, mais qui ne le mérite pas. On les hait, on les aime, on les hait puis on les aime toujours. Cette espèce de coutume ridicule qui rythme nos coeurs déclenche une véritable envie de gerbe radioactive. Pourtant on n'y peut rien, parce que quand on les verra souffrir, on voudra que ça s'arrête. On ne veut que leur Foutu Bonheur, bien trop souvent au prix du notre.

Il y a aussi ces gens que l'on croirait aimer pour toujours. Mais qui un jour, une fois qu'ils nous ont tendrement installé sur notre petit nuage soyeux, s'empresse de nous en faire tomber. Le but étant bien sur de monter, monter, monter, et de faire en sorte que la chute soit des plus fracassantes. On sait bien que cette finalité est la seule qui nous attend, on sait bien qu'on aura mal, mais le plus perfide dans cette satanée histoire, c'est qu'on l'a bien voulu. Pendant les temps heureux, on a docilement accepté ces caresses et ces baisers volés. Maintenant on doit accepter les larmes, le manque, l'amour, et le ridicule. Certaines fois je me demande si le rapport qualité/prix de l'amour n'est pas sérieusement pourri.

Mais merde, j'apprends et j'apprends encore. J'apprends sur le tas, sans recommandation, sans avertissement, sans "eh oh, attention ici ca brule", d'où le ramassage de gueule permanent.

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Ce que je désire le plus au monde à l'instant ce n'est pas Toi,
Juste t'oublier.

Lundi 20 avril 2009 à 16:35

<< J'ai bu la tasse, assis en terrasse quand t'es passée pas toute seule. >>
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Les petites soirées rétro mélancoliques me rattrapent. Encore une folle journée de ridiculité dégénérescente à mon actif. C'est affolant ! Mon FouFurieux fait son bonoboo, m'écrit sur la face, se marre comme pas permis, et bien sur se vexe quand on lui dit qu'il est C H I A N T. Non mais "Please  s a v e  Amélie ! She doesn't diserve that". Mais bon passons, les heures bien rebutantes sont passées. Demain j'ai envie de repeindre le monde. Ma chambre est verte anis, je l'aime bien comme ça. Je commencerai par la chambre de mon FouFurieux, ensuite les nuages. J'ai envie de nuages jaunes, comme dans Dragon Ball ces temps-ci (et siii !! j'te juure). Hem, ensuite repeindre le vent en plus Doux. J'attrape froid  la piscine à tous les coups, ca commence à trop bien faire.
Je tenais enfin à partager une découverte titanesque -et affolante- d'aujourd'hui :

M. Moule : Le Portrait Vomi de Mon frère

 
Je voulais pas y croire, mais bon. Pour l'instant je lui retrouves toutes les manies toutes bêtes de M. Ronchon. Il a surement les bons points aussi. Je crois en lui ! =)

Mardi 14 avril 2009 à 17:02

Il y a un fond de vérité dans toute cette sacrée mascarade. Peu de choses me touchent encore.

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Maintenant lance-toi, ne regarde pas en bas. Tu nous vois ?

Dimanche 5 avril 2009 à 16:47

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<< Stay all night, we save the Poulation >>

 

Dimanche 5 avril 2009 à 15:55



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Surtout tu ne CRIES pas, mais j'ai paumé ton coeur. Je vais tout t'expliquer, tu vas comprendre. Je marchais tranquillement dans une rue, un peu sombre, limite mesquine. Autour de moi il y avait une bonne poignée de types louches au regard porcin. Tu sais ce genre de mal-aimés aux habitudes un peu fourbes. Ton petit coeur que j'avais rangé dans ma poche en velours, palpitait en douceur. Je m'étais assis à une table, et j'attendais ma tequila. Le serveur avait l'air un peu débordé. Tu sais il me faisait presque pitié, il avait quasiment l'air oppréssé. Je l'observais inlassablement, j'avais la bouche pâteuse, une soif odieuse me serrait la gorge. Mes yeux se fermaient un instant, et je les rouvrais lorsque  ta petite palpitation cessa de rythmer le balancement de mon pied. Je l'avais perdu.

<< Inutile de rire, je l'ai cru moi... >>

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